26 avril 2024

Lettre de Paris n°17

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Mon cher cousin,

Je vous écris une nouvelle fois en cette semaine afin de vous faire part de la situation de notre chère France occupée. En effet, les temps sont durs, mais je peux tout de même affirmer qu’il me reste quelques motifs d’espoir. Gardons toujours la foi en avenir meilleur mon cousin. Pourquoi combattre sans espoir me direz vous ? Comme le disait un grand maître, le désespoir est en politique la plus grande des sottises. Embarquez avec moi dans cette nouvelle virée en absurdie.

Tout d’abord mon cousin, laissez moi vous faire part d’une sacrée histoire ! Si vous saviez dans quel monde nous vivons. La France est une absurdie totale. Que nos voisins doivent rire de nous ! Préparez vous. Le gouverne-Ment, et une radio que je ne citerai pas ont mis en place une opération de grande politique ! Oubliez Richelieu, Colbert, désormais il y a le vacci-bus ! La radio et le gouvernement vont maintenant inciter à la vaccination par des bus aux allures de marchand de glace. Une magnifique technique que les pédophiles et prédateurs d’enfants nous envie. Oh j’oubliais les prédateurs d’enfants et pédophiles sont précisément nos élites ! La France tombe si bas. Je suis partagé entre la colère et le rire. Le ridicule ne tue pas mais il fonctionne auprès des plus jeunes. Car ce sont biens les plus jeunes qui sont ciblés. Désormais avec nos doses de poisons la radio nous dorlote, on nous offre des sandwichs, des briquets, des stylos. Vive la Liberté ! Ma santé vaut bien une réduction pour un hamburger ou un tour en bus avec du rap. Dans certains pays on offre le service militaire, une éducation de choix, une formation religieuse approfondie. En France, on avilie notre jeunesse dans la luxure et un matérialisme des plus abjects. Nous sommes définitivement considérés comme du bétail, de simples pantins d’expériences. Enfin mon cousin je dirai simplement, face au ridicule de la situation, mais aussi face au déploiement de tant de moyens tous aussi ridicule les uns que les autres, le pouvoir se vautre dans une irrésistible perte de légitimité. Comment avoir peur ou obéir à une élite dégénérée qui se vautre autant dans l’absurde ? Cependant il semblerait que ces mesures marchent relativement. Ah mon cousin la France est bien dans un triste état, tout n’est plus qu’une sombre farce. Le quotidien n’est aujourd’hui plus qu’un enchaînement d’événements ubuesques. L’hypnose générale dans laquelle une partie du peuple est maintenue semble cependant, face à une telle insulte de l’intelligence ne plus prendre pour d’autres.

Enfin mon cousin, une nouvelle fois rendu dans les désormais hebdomadaires protestations populaires. Je peux vous dire que la résistance s’enracine, elle s’endurcie. Et cela est bon signe, non seulement dans le rejet de cette tyrannie, mais aussi dans le renforcement des relations humaines. Bien au delà d’un rejet d’une caste politique, il s’agit bien d’un instinct de conservation. Il s’agit de bien conserver ce qui fait la vie. A savoir les relations humaines, le sens de la famille en refusant catégoriquement que leurs enfants deviennent des rats de laboratoires. Ce sont bien sur ces valeurs, ces principes fondamentaux pour la bonne préservation d’une famille, donc par extension d’une nation, que nous devons rebâtir ce fameux monde d’après. Le monde d’après n’appartiendra pas aux mondialistes, aux transhumanistes et autres Docteur Folamour de la politique. Il appartiendra à la loi naturelle, au fameux bon sens. C’est bien le bon sens qui doit nous préserver et sera les fondations du redressement de nos sociétés. Ce fameux bon sens, ou « common decency » chère à Orwell est un horrible gros mot pour nos dominants. Quel injure pour eux ! Du simple bon sens. Pas d’idéologie ou d’utopie ! Quelle chose des plus étranges, il faut vraiment être le pire des arriérés pour ne pas voir le monde selon un système philosophique abstrait. Ce qui me semble mon cousin, être motif d’espoir est que ces valeurs ne peuvent définitivement être mis sous le tapis. Tôt ou tard le réel revient toquer à la porte. Dans le cas de nos sociétés, il s’agira plus de l’armée de gueux qui viendra défoncer la porte du château à coup de bélier. Devant la folie de ces derniers temps, face à la menace contre nos enfants et ce qui est le plus chère pour les familles, le retour de bâton sera sans précédent. Jamais en France, un régime ne fut aussi intrusif dans la vie de ses citoyens. Désormais ils veulent toucher au trésor de nos nations, à son futur, à son innocence en les souillant par ce poison. Les fourches les attendront croyez-moi. Je ne peux imaginer qu’il n’y ait pas de résistance massive face à cette folie. La situation changera quand les mères, qui habituellement empêchent les pères de prendre le moindre risque changeront leur discours. La situation basculera quand les mères dirons aux pères de lutter et se battre sans réserve dans l’intérêt de leurs enfants. Les femmes historiquement servent à canaliser la violence inhérente aux hommes en leur donnant du sens. Lorsque les femmes donneront aux pères la mission d’exercer cette violence afin de préserver leur famille, ce sera le moment déclencheur. Les troubles à venir telles que les cyberattaques, rupture du système économique et évidemment de ruptures des chaînes de production changeront la vie de ces familles. Face au danger grandissant et les conditions de vie qui deviendront de plus en plus dur, les familles y joueront un rôle déterminant. Ce sera les collectivités, la communauté nationale, les familles et non les individus pris séparément qui feront basculer les choses. Nous ne pouvons espérer de redressement par l’ajout d’une somme d’individualités, mais par le basculement massif de groupes constitués et soudés. L’entraide sera déterminante.

Je vous le dis mon cousin c’est aux mères de se soulever !

A très bientôt.

Votre dévoué Cousin.


Lettre écrite par Le Cosaque

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